Le fruit de l’Esprit – La joie

Prédications 7 juil. 2024

Gloire à Dieu ! L’ancien évangile, c’est l’évangile qui a été prêché par Jésus et qui continue d’être prêché par le Saint-Esprit. Ce n’est pas l’évangile de la prospérité qu'on voit dans le monde aujourd'hui, dans le monde des religieux dans les églises fondées par les hommes où, quand tu arrives, on met l'accent sur l’évangile de prospérité matérielle, un évangile qui t'amène à avoir davantage d'argent, davantage de position dans la société présente, un évangile qui t'amène à aimer tout ce qui est dans le monde : argent, voiture, maison et tout le reste, l'autorité, la dignité, enfin tout ce que vous pouvez imaginer. Il y a un évangile pour ça. Et c'est prêché et ça marche bien mais ce n'est pas cet évangile-là que nous prêchons. Nous disons que celui qui a l'ancien évangile peut avoir tout le reste. Le Seigneur a dit qu’il aura tout le reste si tu as l’ancien évangile, que ça marche bien dans ta vie, tu auras tout le reste, tout le reste que les gens cherchent d'autres manières, toi tu l'auras simplement.

Alors là j'ai engagé une petite étude sur le fruit de l'Esprit selon Galates 5:22. Dimanche passé, on a parlé de l'amour, fruit de l'Esprit, parce que Galates 5:22 cite beaucoup de fruits. On va relire ce texte que nous connaissons bien :

22 Mais le fruit de l'Esprit, c'est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance ;23 la loi n'est pas contre ces choses. (Galates 5 :22-23)

Mais je vous rappelle que tout n’est pas listé là. Dans d'autres versets, on retrouve d'autres fruits de l'Esprit. En fait, ce sont des fruits. La Bible parle de fruit parce que c'est ce qui est engendré par l'Esprit. L'Esprit engendre toutes ces qualités, toutes ces vertus. Dimanche passé, j’ai posé le fondement, disant que ce qu'il faut comprendre c'est que ce que la bible cite ici, on l'a naturellement du fait de notre nature, du fait que nous sommes des hommes. On a naturellement la joie on a naturellement la paix, l’amour, tout ce que vous pouvez imaginer, mais quand on devient chrétien et qu'on est régénéré par l'Esprit de Dieu et qu'on commence à vivre la vie de l'Esprit, il génère en nous les mêmes qualités, mais venant de l'Esprit. J'ai parlé de l'amour. J’ai essayé de le présenter. Vous avez vu que c'est comme s'il y avait deux sortes d'amour.

Maintenant, je voudrais apporter des précisions parce qu'on m'a interpellé. Quand je suis entré dans le fond de la prédication, j’ai parlé de la manière de savoir si quelqu’un nous aime…Comment est-ce que tu peux savoir que ton mari t'aime, que ton père t'aime, que ton frère t'aime ? Quand on est rentrés dans ce domaine-là, j'ai parlé un peu du fait qu'il y a des soeurs qui prennent un peu trop les choses à la légère. Par exemple, si ton mari ne t'a pas invité au restaurant, c'est comme s'il ne t’aime pas, j'ai été interpellé à ce sujet. Mais en fait, il fallait préciser que ce n'était pas mauvais pour un homme d'aller avec sa femme manger au restaurant. Ce n'est pas mauvais. De temps en temps, il faut sortir avec ta femme pour ne pas seulement rester enfermés dans la maison. De temps en temps, vous sortez, madame, les enfants, vous pouvez aller manger, vous promener un peu, faire un peu de tourisme. Cela libère l'esprit, ça dégage l'esprit des charges de la maison, de la pression de la maison. Donc, ce n’est pas mauvais, c'est d’ailleurs une très bonne chose. C’est une très bonne chose quand on a les moyens de temps en temps de sortir avec sa femme et ses enfants pour aller voir un peu ailleurs. Quand on a les moyens, on peut le faire. Si tu n'as pas les moyens, alors que ton cœur est bien disposé, tu ne peux pas le faire. Tu aurais voulu le faire, mais il n'y a pas les moyens. Mais quand il n'y a pas les moyens, il faut le faire. Donc, je ne l'ai pas affirmé, mais c'était sous-entendu que ce n'est pas mauvais.

Mais ce que je veux dire, c’est que lorsqu’un homme fait ces choses-là, il ne faut pas que toi, la femme, tu penses que c'est ce qui prouve qu’il t’aime. On mesure l'amour d'un homme pour sa femme dans les moments difficiles. Quand elle a fait quelque chose de mal et qu'il revient à l'homme de réagir, c'est là qu'on voit. Tu fais quelque chose de mal, peut-être pas forcément de ton plein gré, mais ça peut arriver. Tu peux avoir un accès de colère, tu sors des paroles, tu dis des choses vraiment qui ne sont pas à dire, tu blesses ton mari. C'est la réponse qui va démontrer son amour à ton égard. Oui. Moi, c'est ainsi que je mesure les choses.

Vous avez vu Jésus ! Il est allé jusqu'à la croix ! S’il avait dit du bout des lèvres qu’Il nous aimait, ça ne serait pas suffisant pour mesurer son amour. Même si ce n’est pas mauvais de dire qu’Il nous aime, qu'il guérisse les malades, qu'il chasse les démons. Mais quand il va jusqu'à se donner à la croix pour nous, on peut mesurer son amour. Il ne faut pas attribuer sa mort aux romains car c'est toi qui l'as tué. C'est toi qui l'as tué. Je l'ai prêché il y a longtemps ici que chacun de nous se rende compte qu'il est responsable de la mort de Jésus. Il ne faut pas seulement voir les romains. Jésus nous a enseigné que c’est de cette façon qu’on doit aimer. Et j'ai dit dimanche passé que pardonner, c'est mourir, quelque part. Cela participe à tuer le vieil homme, la vieille nature, qui n'aime pas la paix, qui aime les querelles, qui n'aime pas pardonner, qui veut plus s'affirmer et montrer son l'orgueil.

Au fur et à mesure que tu pardonnes, tu meurs à ta vieille nature. Tu meurs jusqu'à ce que tu ne résistes plus et que l'agression de l'autre, en fait, ne te dise plus rien. Quand tu apprends à pardonner, car on apprend à pardonner. Il faut apprendre à pardonner. On ne peut pas penser que ça vient tout seul. Non, non, non. On apprend à pardonner. Et quand tu apprends à pardonner et que tu finis par être quelqu'un qui pardonne, après tu ne ressens plus les agressions qui viennent des autres. On peut te dire des choses difficiles à entendre, dures à entendre, ce n'est plus un problème parce que tu as vaincu ça. Tu es mort. Tu es mort à ça. Tu es mort aux injures. Tu n'entends plus les injures. Pourquoi ? Parce que tu vis dans l'intérêt du royaume de Dieu. Quand on vit dans l'intérêt du royaume de Dieu, on ne fait pas de querelle. Et si on le fait, il faut arriver à un niveau où on en a fini avec ces choses-là. Que Dieu soit béni. Donc il y a des petites précisions comme ça que j’aurais dû faire. Mais je suppose qu'on se comprend.

Si ta femme te dit écoute je souhaite qu'on sorte un peu, il ne faut pas dire le pasteur a dit que ce n’est pas important. Non, non, non ! On peut inviter sa femme ! Il ne faut pas lui dire que c'est du gaspillage comme certains frères le disent, préférant manger à la maison. On peut le faire de temps en temps, ce n'est pas mauvais, c’est une très bonne chose. Moi, je mange beaucoup au restaurant. Je le dis en passant. Il faut que ce soit clair. Ce n’est pas une mauvaise chose.

Donc, la joie, la joie fruit de l’Esprit

Paul a cité l’amour et il a cité aussi la joie. Mais, je voudrais rappeler aussi que la dernière fois, j'ai dit que l'amour est un commandement. Ça, c'est très important. L'amour, déversé dans le cœur par l'Esprit, est un commandement. C'est un commandement du Seigneur. C'est pour cela que c'est un sentiment qu'on doit manifester sans intérêt. C'est-à-dire que tu manifestes l'amour, mais tu ne cherches pas d'intérêt. Tu ne cherches pas en retour quelque chose. Il ne faut pas rechercher qu'on t'aime en retour, qu'on t'apprécie en retour, qu'on te renvoie l'ascenseur. Non, non, non. Le Seigneur nous a aimés sans condition. Il nous a aimés tels que nous étions. Et par son amour, il a essayé de faire de nous de nouvelles personnes, des gens maintenant qui peuvent être unis à lui, qu'il peut utiliser pour accomplir sa volonté. Quand Dieu te prend au départ, il te prend tel que tu es. Cela étant, il te nettoie, il te forme pour que tu sois uni à lui et que tu deviennes un instrument dans ses mains pour accomplir sa volonté. C'est un processus et c'est comme ça que le Seigneur nous a enseignés.

Donc aujourd'hui, si nous voulons être parmi les disciples de Christ nous devons savoir que notre amour pour les autres est sans intérêt en retour. Il ne faut pas attendre que le prochain manifeste un certain sentiment à ton égard avant que toi tu lui donnes l'amour que Dieu exige de toi. Je dis bien que Dieu exige de toi parce que c'est un commandement. C'est ce que les apôtres nous ont dit, le Seigneur nous a dit la même chose « Je vous donne un commandement nouveau ». C’est bizarre, pourquoi a-t-il dit « nouveau » ? dans la loi il était dit « œil pour œil, dent pour dent ». Là où on parle de « œil pour œil, dent pour dent », on ne peut pas parler de l'amour parfait qui s’enseigne ici. Donc du coup, en Jésus Christ, son commandement devient « nouveau » parce qu'il l’a exécuté autrement. Ce n'est plus « œil pour œil, dent pour dent ».

Au moment où le Seigneur était là et qu'il enseignait, les juifs, la communauté d'Israël était toujours dans la loi, en train de chercher à exécuter la loi. Regardez comment ils ont voulu tuer la femme adultère. Dès qu’ils l’ont prise, ils ont ramassé les cailloux pour la lapider. Il faut la lapider parce qu’elle avait trompé son mari. Le Seigneur a dit « Que le premier parmi vous qui n’a jamais péché lui jette le premier la pierre » Là, ils se regardent, ils se regardent, puis ils déposent les cailloux, et chacun prend sa route. Amen.

Voilà comment il a sauvé cette femme. Et cet amour ici, c'est un amour sans condition, c'est un commandement. Et dans cet amour, il y a aussi la notion de miséricorde. Si tu n'as pas de miséricorde, en toi, tu ne peux pas manifester cet amour dont la bible parle. Donc ce sont des sujets très importants et aujourd'hui, on est dans un temps où chacun doit savoir s’il a vraiment reçu le Saint-Esprit.  Car ces choses dont nous parlons, si tu n'as pas l'Esprit de Dieu en toi, tu ne peux pas les manifester. Tu vas lutter dans la chair, mais tu ne pourras pas parce que tu n'as jamais expérimenté le baptême du Saint-Esprit. Alléluia ! Si tu n'es pas un temple de l'Esprit, un temple de Dieu, tu ne peux pas manifester le fruit de l'Esprit. Tu vas vivre naturellement de ces vertus-là mais il y a des limites, et il n'y a pas de croissance. Là où l'Esprit n'est pas, il n'y a pas de croissance spirituelle. Tu ne croîs pas et tu n’évolues pas spirituellement.

Pour revenir à la joie, on va lire un autre texte dans 1 Thessaloniciens chapitre 5 verset 16. C'est un texte qu'on a dû rencontrer déjà. Voilà ce que Paul dit aux frères :

Soyez toujours joyeux. (1 Thessaloniciens 5:16)
Et dans un autre texte Philippiens 4 verset 4, il dit :
Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur ; je le répète, réjouissez-vous. (Philippiens 4:4)

Et on va ajouter Psaume 126, voilà ce qui est écrit :

5 Ceux qui sèment avec larmes moissonneront avec chants d'allégresse. 6 Celui qui marche en pleurant, quand il porte la semence, revient avec allégresse, quand il porte ses gerbes. (Psaume 126 :5-6)

Après on verra dans Matthieu chapitre 25, la parabole des talents. On connaît bien la parabole des talents, mais il y a quelque chose là-bas que je voudrais qu'on regarde ensemble :

22 Celui qui avait reçu les deux talents s'approcha aussi, et il dit : Seigneur, tu m'as remis deux talents ; voici, j'en ai gagné deux autres - Là, il est en train de récompenser ceux qui ont reçu des talents qui ont fructifié - 23 Son maître lui dit : C'est bien, bon et fidèle serviteur ; tu as été fidèle en peu de chose, je te confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton maître. (Matthieu 25:22-23)

Notez cette notion « Entre dans la joie de ton maître ». Donc la joie, c'est un fruit de l'Esprit. Maintenant, qu'est-ce que la joie ? On va regarder ce que le dictionnaire dit. C'est important, parce que c'est un mot français. Donc, qu'est-ce que le dictionnaire dit au sujet de la joie ? Sentiment de bonheur, de satisfaction, vive et intense, qui vient du plaisir que l'on a à agir, à accomplir non pas une tâche répétitive, mais de contribuer à un certain progrès qui est empreint d'un caractère spirituel, philosophique, scientifique, religieux ou esthétique. La joie, c'est un sentiment de bonheur, c'est ce qu'il faut retenir, et de satisfaction. Un sentiment de bonheur et de satisfaction d'avoir accompli quelque chose.

Maintenant, si on veut aller plus loin, c'est quoi le bonheur ? Le bonheur, le dictionnaire dit que c'est un état heureux causé par une complète satisfaction. Un état heureux causé par une complète satisfaction. Je lis ces choses pour attirer votre attention sur quelque chose de très important. La joie est un fruit de l'Esprit de Dieu. C'est-à-dire qu'il y a une joie que l'Esprit de Dieu déverse dans notre cœur. Et cette joie n'est pas comme toutes les joies qu'on peut imaginer dans ce monde. Dans ce monde, c'est le jour de ton anniversaire que tu es dans la joie. Tu as été admis à un concours tu es dans la joie. Tu as trouvé une femme et tu vas te marier, c'est un jour de joie, c'est un jour de bonheur c'est un jour de réjouissance. Une femme qui était enceinte, a accouché de son bébé sans problème et, quand elle voit l'enfant, l’Écriture même dit qu’elle est dans la joie. Tu es en quête d’emploi, tu as eu du travail avec un bon salaire, tu es dans la joie. Tu es une soeur en Christ, tu attends tranquillement et un frère est venu te faire un vœu, tu l'aimes bien, tu es dans la joie. Pourquoi ? parce que tu vas te marier, tu auras ta maison à toi. Tu es dans l’espérance de quelque chose et tu reçois cela, il y a quand même de la joie. Il y a du bonheur. On est heureux d'avoir accompli quelque chose, d'avoir fait quelque chose, d'avoir obtenu quelque chose.

Donc la joie comme je l'ai dit, c'est naturel. Un être humain peut naturellement expérimenter la joie, peut expérimenter le bonheur. Et je pense que tous les politiciens qui nous gouvernent cherchent à nous rendre heureux. Quand ils viennent vers nous, c'est le discours qu'ils tiennent. Ils veulent nous rendre heureux, nous donner la paix, nous donner tout ce qu'il nous faut pour vivre dans le bonheur. Voilà ! Donc même les politiciens recherchent le bonheur et la joie pour le peuple, pour tout le monde.

Alors, le Saint-Esprit nous donne la joie. Et cette joie est différente de la joie naturelle dont je suis en train de parler. Mais, cette joie-là est reliée à quelque chose d’autre. Car dans la définition, on manifeste la joie après avoir obtenu quelque chose. Il y a toujours quelque chose qui nous rend heureux, n'est-ce pas ? Mais cette joie de l'Esprit, d’où est-ce que ça provient ? C’est ça qu’il faut d’abord connaître avant d’aller plus loin dans le sujet. Si on sait l’origine de cette joie on peut alors comprendre les autres choses : Cette joie vient de l'obtention de Christ. Quand on parle de Christ, on parle du salut. On parle même du Saint-Esprit. Tous ceux qui ont expérimenté le baptême du Saint-Esprit ont expérimenté cette joie. C’est le premier indice qui prouve que tu as reçu le Saint-Esprit. Le premier indice qui prouve que tu l'as reçu, c'est que tu expérimentes une joie indicible.

Tous ceux qui ont reçu le baptême du Saint-Esprit témoignent que, quand ils l'ont reçu, ils ont senti une joie indicible, une paix indicible. Amen ! qui l'a senti ici ? Est-ce qu’il peut lever la main ? qui a senti cette joie, cette paix après avoir expérimenté ce jour-là le Saint-Esprit ? Moi j'ai l'a expérimenté quand j’ai reçu le Saint-Esprit. C'est une paix, une joie qui m'a habité pendant plusieurs jours. Je ne sais pas pourquoi mais j’étais très heureux. J’étais dans la joie. Ça m'a habité plusieurs jours, et l'onction du ministère était sur moi. Et tout est parti de là. Tout est parti de là jusqu’à aujourd'hui.

C'est la joie de posséder le Christ, d’expérimenter le Saint-Esprit. Frères, c'est un grand bonheur de voir que Dieu habite en toi. C'est un grand bonheur, c'est la source, c'est la source de la joie de l'Esprit dont on parle. C’est une joie qui est communiquée par l'Esprit de Dieu. Alléluia. C'est spirituel. Si tu as expérimenté le Christ, si tu as expérimenté le pardon de tes péchés et que tu as reçu le salut, la vie de Christ, tu reçois cette joie. Donc du coup, cette joie n'est pas liée à un événement dans le monde. Ce n'est pas lié au fait que tu as reçu un cadeau que tu as été reçu à un concours. Ce n'est pas lié à un mariage, ce n'est pas lié à ton travail, ce n'est lié à rien dans ce monde. C'est lié à l'expérience spirituelle que tu as vécue en Jésus Christ. Tes péchés ont été pardonnés, le poids de ta condamnation a été ôté, tu as reçu le salut et tu as reçu le Saint-Esprit. Donc tu es devenu une nouvelle personne, tu es dans la joie. Tu es dans le bonheur. C'est un bonheur. C'est un bonheur, un grand bonheur.

Frères, ce sujet paraît banal mais il est très important. Il est très important ! et l’apôtre Paul dit aux frères « soyez toujours joyeux ! soyez dans la joie, soyez toujours joyeux. Je le répète : réjouissez-vous dans le Seigneur. ». Mais pourquoi dit-il aux frères une telle parole, « Soyez toujours joyeux » ? Et puis il leur dit « réjouissez-vous dans le Seigneur. Je le répète, je le répète, réjouissez-vous dans le Seigneur » ? C'est important. Si on regarde ce qu'il y a à l'intérieur de cette joie, vous allez voir que c'est vrai que la joie est un fruit de l'Esprit, mais c'est aussi une puissance parce que cette joie est là pour mener un combat spirituel. Tous les fruits de l’Esprit que la bible cite sont des armes. Ce sont des armes de combat spirituel.

Donc, faites la différence entre la joie qu'on peut expérimenter à l'occasion d'un événement dans ce monde, d'avec cette joie ici, qui est le bonheur retrouvé en Jésus-Christ. C’est la joie de l’Esprit. C’est l’Esprit qui communique cette joie. Et comme cette joie n’est pas liée à un événement dans ce monde, normalement elle ne flétrit pas et normalement elle ne nous quitte pas. Alléluia. Elle ne nous quitte pas, cette joie-là. Un chrétien normalement devrait être heureux. Mais est-ce que tu es heureux ? Un chrétien devrait être heureux, il devrait se réjouir tous les jours. Il devrait être dans la joie tous les jours. Il devrait être en paix tous les jours. Alléluia. Tu peux traverser des moments difficiles, des épreuves, des situations compliquées qui apparemment n'ont pas de solution bien que, pour un chrétien, il n'y ait pas une situation qui n'a pas de solution. Moi, je ne connais pas ça. Je ne sais pas quelle est la situation qui n’a pas de solution pour un chrétien. Moi, je ne connais pas. Celui qui pense comme ainsi limite la main de Dieu. Mais le chrétien n'est pas limité avec la main de Dieu.

Donc, normalement, cette joie n’est pas liée aux événements qu'on a dans ce monde. C'est une joie qui est spirituelle. C'est une valeur que le chrétien possède et qui est spirituelle. Contrairement à celui qui n'a pas Christ. Celui qui n'a pas Christ, ce sont les événements de la vie qui le rendent heureux. J'ai cité beaucoup d'événements qu'on appelle les événements heureux. Les événements malheureux, c'est généralement quand il y a la mort, ou bien lorsque quelqu'un est malade dans la famille dont on dit qu'il n'y a pas de solution. Si on est à des obsèques et qu’on est attristé parce qu'on a perdu un être cher, c'est un événement malheureux. Par contre, il y a beaucoup d’événements heureux.

Donc si notre joie est liée aux événements heureux rencontrés dans ce monde, ce qui n’est pas mauvais, mais nous devons savoir que c'est une joie naturelle, éphémère, qui passe. C'est pour cela que les philosophes, quand ils parlent de la joie, disent tantôt il y a la joie, tantôt il y a des problèmes, il y a la mort, il y a la vie. Pour finir, eux-mêmes ne comprennent plus rien. C'est comme ça. Mais celui qui est en Christ, il sait que le chrétien a une joie qui est spirituelle, qui est reliée à son salut et à la possession du Saint-Esprit qui habite en lui. Et cette joie est une puissance. C'est une puissance pour combattre la tristesse, pour combattre les murmures, pour combattre le désespoir, le désarroi, l’amertume. Tu es un fils de Dieu. Tu es une fille de Dieu. Tout peut t'arriver, mais tu n'es pas perdu. Alléluia. Tu es sauvé. Tu es délivré de la mort. Tu es délivré de la perdition. Tu es sauvé. Tout peut te quitter, t'abandonner, mais tu es sauvé. Si tu quittes la terre, tu te rends dans le ciel de Dieu, dans le bonheur éternel. Alléluia. C'est de cette joie-là dont je parle. C'est une arme de combat spirituel. Et cette arme est là pour nous sauver dans les temps de détresse. Qu'est-ce qui a tenu Job ? Qu'est-ce qui a tenu Job ? Quelqu'un qui perd ses biens, qui perd ses enfants, qui perd sa santé. Il avait tout perdu : sa peau était couverte d’ulcères. Pour être un peu à l’aise, il allait s’asseoir dans la cendre pour se réchauffer un peu. Mais qu'est-ce qui l’a fait tenir ? c’était la joie.

Frères et sœurs, c'est une joie qu'on n'a pas besoin de manifester en souriant tout le temps, non, non, non ! Cette joie n'a pas besoin de se manifester en souriant tout le temps. Mais au dedans de toi que tu es dans la joie. Tu te réjouis d’appartenir à Jésus-Christ, tu te réjouis d’avoir la vie éternelle, tu te réjouis d’avoir un Dieu à qui tu peux parler, tu te réjouis d’avoir un Dieu qui est avec toi tous les jours. Quand tout le monde t'abandonne, il est avec toi et tu le sais. Quand tous les problèmes s’amoncellent, il est avec toi. Tu peux lui parler et dans le secret aussi, il te parle, il te répond. Tu as la joie d'avoir un Esprit qui est avec toi, que tout le monde ne voit pas, mais que toi tu vois. Tu as la joie de voir les anges, de voir les armées des cieux. Tu as la joie d'être en sécurité, de te savoir en sécurité. Alléluia. Aucune main ne peut te toucher, que Dieu l’ait permis. C'est l'assurance. C'est l'assurance !

Une fois, j'ai vécu une expérience alors que j'étais allé jeûner durant sept jours. Quand j'ai fini, j'ai commencé à rire. Je n'ai pas voulu rire. Mais au septième jour, quand j'ai fini, j'avais fait mes bagages, je m'apprêtais à rentrer à la maison, il y a une onction qui est tombée sur moi et j'ai commencé à rire. Je riais de joie, c’est-à-dire que je riais, mais en fait, c'était la joie. Je ne comprenais pas pourquoi je riais. J'étais tellement heureux. J'ai ri, j'ai ri, j'ai ri. Et puis j'ai reçu un message. J'ai dit, attends, qu'est-ce qui se passe ? Je riais. Je suis sorti de la maison. J'ai pris ma voiture. J'ai ri tout le temps. J'étais heureux. Et je suis rentré à la maison. Amen.

Il y a un frère qui m'a rendu son témoignage. Il avait jeûné quarante jours. Il dit qu’au quarantième jour il a ri, il a ri tout le temps. Cela ne lui était jamais arrivé. J’ai trouvé cela bizarre mais quand cela m'est arrivé, alors j'ai compris. J'ai compris. Je me réjouissais, j'ai ri, j'ai ri, j'ai ri. Or, c’est le Saint-Esprit qui faisait ça. J'ai alors compris qu’en fait, c'est la vie de l'Esprit. Alléluia.

Un chrétien c’est un chrétien. Il est dans le bonheur, il est dans la paix, il est tranquille. Les êtres célestes sont avec lui, Dieu est avec lui, la vie est avec lui, les anges sont avec lui, il est tranquille. Il faut jeûner et prier, glorifier le Seigneur. Ce qui semble être une montagne, dans le fond, n’est pas une montagne Ce qui semble être un problème, dans le fond, n'est pas un problème. Paul dit « Réjouissez-vous dans le Seigneur. Je le répète. Je le répète ». Qu'il n'y ait pas un événement, qu'il n'y ait pas une situation, un problème, qui t'arrache la joie de ton salut, la joie d'appartenir à Christ, la joie de recevoir l'Esprit, d'être le temple de Dieu parce que si jamais cette joie te quitte, je pense que ta vie chrétienne devient compliquée. Mais ce que je sais que c'est une puissance. Cette joie est une puissance. C'est une puissance qui maintient le chrétien.

Souvent on t'annonce des nouvelles, tu reçois plusieurs nouvelles en même temps et apparemment ce sont des mauvaises nouvelles. Et quand le diable veut te prendre ça pour t'emmener loin, l'Esprit te dit « reste tranquille, tu es avec moi, nous sommes ensemble. Est-ce qu'il y a un problème ? », « Non Seigneur, il n'y a aucun problème, tout va bien. » « Le diable va te tirer en arrière. Reste tranquille. Est-ce qu’il y a un problème ? » « Il n’y a pas de problème. Tant que tu es là, il n’y a pas de problème, tout va bien ». Alléluia. Tant que le Seigneur est là, il n’y a pas de problème.

Les disciples étaient apeurés dans la barque, ils avaient peur et disaient « Mais tu ne vois pas que nous périssons ? » « Mais est-ce qu'il y a un problème ? Vous criez pour quoi ? c'est vous qui allez renverser la barque ! Parce que vous avez tellement peur que, pour finir, vous allez faire des mauvaises manœuvres qui vont renverser la barque ! On ne peut plus dormir ? On ne peut plus dormir, vous avez un problème ? Est-ce que vous pouvez couler avec quelqu'un qui a ressuscité des morts ? Même si vous n'avez pas confiance en vous-même, ayez confiance en moi quand même ! Ayez confiance en moi ! Je ne peux pas être dans une barque qui va couler parce que la tempête s'est soulevée, alors que je suis avec vous ! hommes de peu de foi ! ». Hommes de peu de foi ! Alors il a dit « tempête, calme-toi ! Nous voyageons ». Puis il a dit « allons, passons de l'autre côté, nous voyageons. Il faut t'écarter parce que tu ne peux pas empêcher le voyage. »

Il faut parler au diable. Il y a des choses qu'il ne peut pas faire. « Tu ne peux pas empêcher le voyage. Toi Satan tu ne peux pas empêcher mon avenir, tu ne peux pas mettre la main sur mon avenir, sur mes affaires ! Tu ne peux pas le faire ! tu ne peux pas le faire ! Je suis le fils de Dieu, je ne te le permets pas, Alléluia ! tu ne peux pas le faire ! ». Souvent il faut hausser le ton sur le diable - même pas souvent, mais tout le temps - il faut hausser le ton sur le diable.

Alors, cette joie combat la tristesse que le chrétien peut avoir. Ça combat l’amertume. Ça combat le découragement. Car ces choses sont des attaques de Satan. Quand le chrétien est découragé, c'est une attaque de Satan. Le chrétien est triste. Quand tu es triste, Dieu n'est pas content. Dieu n'est pas content. Vous-même, regardez vos enfants. Vous vous levez le matin et vous voyez un des enfants qui est triste, qui a le visage défait. Déjà, tu as un problème. Toi, le papa, ou la maman, tu as un problème. Pourquoi mon fils est triste ? Pourquoi ma fille est triste ? Forcément, tu vas lui demander ce qui se passe.

C'est pareil pour Dieu. Quand le chrétien est triste, Dieu n'est pas content, à moins que ce soit une tristesse provoquée par le Saint-Esprit. Ça peut arriver. Mais ce genre de tristesse nous habite quand on a mal fait. Dans ce cas, c’est pour nous pousser à la repentance que le Saint-Esprit jette en nous cette tristesse, donc on est triste. Dieu voit qu'on est triste, et on commence à prier, à demander pardon, à nous repentir. Quand on est pardonné, on l’est réellement. C'est pour ça que la tristesse ne couvre pas le chrétien pour tout le temps. Si tu as péché, il y a une voie de sortie : repens-toi ! Il faut te repentir ! Tu vas devant le Seigneur, tu te repens de tes péchés et il va te donner la paix et la joie.

Mais ton visage est défait parce que la tristesse, qui est une attaque de Satan est encore là. Elle vient à cause d’une mauvaise nouvelle, ou bien parce que tu as un problème, tu as reçu des informations, tu as fait des mauvais songes, ou bien tu as des affaires qui ne vont pas bien. Alors on est un peu troublé. Cette joie est venue combattre toutes ces choses-là, mais il ne faut pas la perdre.

Maintenant, ce que je voulais dire c'est que quand on regarde dans la parabole de Matthieu 25, il y a une leçon, un enseignement à retenir. Jésus a donné une parabole, il a dit, parlant de Lui, qu’un souverain a décidé de voyager. Alors, il a appelé ses serviteurs, leur a donné des talents et il est parti en voyage. À son retour, il vient faire le point avec eux. Ceux qui ont multiplié les talents, qui ont bien travaillé, il leur a dit « Entre dans la joie de ton maître ». Pour avoir bien travaillé, il leur dit « Entre dans la joie de ton maître, entre dans le bonheur ». Et moi j'ai compris par-là, en regardant aussi la définition de la joie, j’ai compris que cette joie s’entretient et elle s’entretient par l’œuvre de Dieu. Un chrétien qui travaille, qui est à la tâche, qui met la main à la pâte est toujours joyeux.

Qu'est-ce qui le rend joyeux ? Mais c'est l'ouvrage, le travail qu'il fait qui le conduit dans le bonheur et dans la joie. Il est tout le temps dans la joie. Pourquoi ? Parce qu'il travaille pour le Seigneur. Il est au service de son maitre et il est satisfait. Quand tu travailles pour Dieu, ton cœur est content tu es satisfait c'est là qu'il te dit « entre dans la joie de ton maître, entre dans le bonheur ». L’ouvrage nous conduit, nous permet d'entretenir la joie et le bonheur en Christ. Mais un chrétien qui est désœuvré, qui est assis et pour qui l'œuvre de Dieu n'est pas son problème, il est absent, bien que dans l'église il est absent il ne s’occupe de rien, il n’est pas intéressé par ce qui se passe dans l’église, il ne porte pas le poids de l’œuvre de Dieu, il s’en fiche. Ce qui l’intéresse ce sont ses propres affaires, sa réussite dans ce monde. C'est ça qui l'intéresse. L'œuvre de Dieu n'est pas son problème. Du moment qu’il exerce son activité, ce n'est pas son problème. Mais tu ne peux pas être dans le bonheur. Lisez le Psaume 126. Qu’est-ce qui est écrit ? on l’a lu tout à l'heure. Le Psaume 126 dit exactement ce qui nous concerne :

Cantique des degrés. Quand l'Éternel ramena les captifs de Sion, Nous étions comme ceux qui font un rêve.Alors notre bouche était remplie de cris de joie, Et notre langue de chants d’allégresse ; Alors on disait parmi les nations : L'Éternel a fait pour eux de grandes choses !

L'Éternel a fait pour nous de grandes choses ; Nous sommes dans la joie.Éternel, ramène nos captifs, Comme des ruisseaux dans le midi !Ceux qui sèment avec larmes Moissonneront avec chants d'allégresse.Celui qui marche en pleurant, quand il porte la semence, Revient avec allégresse, quand il porte ses gerbes. (Psaume 126)

Quand on parle d’allégresse, de chant, mais celui qui est dans l'allégresse, qui chante, c'est celui qui est dans la joie. Il est dans le bonheur. Il se réjouit. Il se réjouit de quoi ? Il se réjouit de recueillir les fruits de ce qu'il a semé, de ce qu'il a semé dans la douleur. Pourquoi souvent les gens n'aiment pas s’engager dans l’œuvre de Dieu ? Peut-être à cause de la douleur, à cause de la souffrance, à cause des épreuves. Mais, c'est la vie et ce sont des lois qui sont dans la vie. C'est très important.

Quand Adam et Ève ont péché, le Seigneur a dit à Adam « Tu es poussière, tu vas retourner dans la poussière. Ta nourriture, tu vas la tirer du sol. C'est à la sueur de ton front que tu vas manger ». En ce moment, j’ai de la sueur sur moi ? Est-ce que vous avez de la sueur sur vous ? Non. Mais moi oui, pourquoi ai-je de la sueur ? parce que je suis en activité, je suis en train de prêcher, je fournis des efforts. Donc, j’ai de la sueur. Donc, la sueur est liée aux efforts. La sueur est liée aux efforts. Et en Esprit il y a des efforts faire. Et la vie du chrétien, c’est toujours un champ qui s’ouvre quelque part. Tu cherches du travail, mais c'est un champ qui est ouvert devant toi. Il faut semer dans le champ. Tu vas récolter le travail. On n'obtient pas un emploi comme si on allait acheter des choses au marché. Il faut ouvrir le champ. Sème les prières, sème les demandes d'emploi, il faut semer tout ce qu'il y a à semer et tu vas récolter.

Et ce n'est pas sans effort, tu ne peux pas être assis à la maison et puis l'emploi va te trouver à ton domicile, à ton adresse, comme si l'emploi connaissait ton adresse. L'emploi ne connaît pas ton adresse. Les entreprises qui recrutent ne savent pas où tu habites, ce n'est pas elles qui viennent vers toi, c’est toi qui vas vers eux ! Il y a toujours quelque chose qu'on sème, et après coup, on voit ce qu’on a semé. Mais si tu ne veux pas semer, tu ne récolteras rien. Ce sont des lois de la nature, et la joie que nous avons sur cette terre, nous allons la manifester aussi dans la présence de Dieu. 

Avant de récolter, on sème quelque chose. Qu'est-ce qu'on sème ? Je parle de la joie que j’explique ici. Tu vas semer ta vie. Quand on parle de la repentance, de l'abandon de soi, du renoncement, pour employer le bon mot, si tu veux être en Christ, il faut renoncer à toi-même. Mais renoncer à soi-même, ce n'est pas facile, c'est difficile, c'est éprouvant, c'est la mort. Celui qui sème avec les larmes va récolter dans la joie.

Il y a une grande joie qui vient dans l’Église. Il y a un grand bonheur qui vient dans l’Église. Ceux qui vont l'expérimenter, c'est ceux qui aujourd'hui ont semé avec beaucoup de larmes, avec beaucoup de pleurs et de cris. Frères et sœurs, un chrétien sème ! il sème les prières, il sème les supplications, il sème les larmes, il sème la joie ! Alléluia ! il sème beaucoup de choses. Il ne faut pas rester les bras croisés. La vie chrétienne est un champ. Si tu es paresseux, que tu ne travailles pas, tu ne sèmes pas.  Alors tu es en train de te priver du bonheur éternel et de la joie éternelle, de cette joie qui vient dans l'Église, car la joie est aussi prophétique.

Jésus a dit, votre père Abraham a vu mon jour et il s'est réjoui. Abraham a vu le jour du Seigneur. Il s'est réjoui. Nous, aujourd’hui, on le voit, le jour du Seigneur et on se réjouit. On voit ce que Dieu va faire. On voit ce que Dieu va accomplir. On le voit. Et nos cœurs se réjouissent déjà. La joie est prophétique. La joie dont on parle, fruit de l’Esprit est prophétique. Celui qui a cette joie peut se réjouir des événements prophétiques à venir. Il sait qu'il va y participer. Il se réjouit déjà. Et comme il se réjouit de cela, il a la victoire. Il peut persévérer, demeurer ferme parce qu'il ne veut pas se priver de cette joie qui vient, ce bonheur. Gloire à Dieu ! L’écriture parle de Moïse. Moïse avait tout dans la maison de Pharaon. Mais Paul dit que, bien qu’ayant tout cela, il a préféré aller se mettre avec les esclaves, ses frères esclaves. Il ne voulait pas se réjouir de ce bonheur passager, cette réjouissance passagère qui n'était pas éternelle. Il ne voulait pas se réjouir de ça. Il a vu la gloire de Dieu, il a vu la récompense éternelle et son cœur s'est réjoui. Et il s'est attaché à ça. Amen.

C’est pareil aujourd'hui ! Si tu es un chrétien et que dans ta vie, tu ne tiens pas compte des prophéties, tu ne tiens pas compte de ce que Dieu t'a promis et des événements glorieux qui sont devant nous, ton cœur ne sera jamais heureux. Les problèmes vont te submerger, ça va te dépasser. Mais celui qui voit ces choses, qui les saisit est dans le bonheur. Alléluia. Il est dans le bonheur. Et sa joie peut combattre. Sa joie peut combattre. Que Dieu soit béni.

Frères et sœurs, le Seigneur a dit à celui qui est fidèle : Entre dans la joie de ton maître !  Il te sera dit si tu travailles : Entre dans la joie de ton maître. Si tu n’as pas enterré ton talent, le Seigneur te dira : Entre dans la joie de ton maître. Et la joie du maître est une joie éternelle. C'est une joie ineffable. On est toujours heureux de servir le Seigneur. Regardez les apôtres, on les a battus et la bible dit qu'ils se sont relevés. Ils étaient heureux d’avoir été battus pour le Seigneur. Ils s’en réjouissaient. On les a battus, ils s’en réjouissaient. Et quelle idée de se réjouir de ce qu'on t’a frappé 40 coups ? Ils se réjouissaient de ça ! de ce qu'on les a battus ! Et ils n'ont pas arrêté l’œuvre de Dieu ! La chicotte n'a pas arrêté l’œuvre de Dieu ! déjà le lendemain ils étaient encore en train de prêcher ! Ils étaient encore en train de prêcher, le lendemain seulement ! Paul, on l'a battu à mort. Dès qu'il s'est relevé il a continué de prêcher.

Est-ce que quelque chose dans ce monde peut arrêter cette joie ? Quand on regarde les apôtres, on dit non. La chicotte, la prison n'ont pas eu raison de cette joie. Et même Paul, quand on l'a mis en prison, animé de la joie de l'Esprit, il a commencé à chanter avec Silas, à louer le Seigneur, avec les chaînes et les plaies aux pieds. Ils ont chanté, chanté, chanté, chanté, loué le Seigneur. C'est la joie. Alléluia. C'est la joie du Saint-Esprit qui peut faire qu’avec les chaînes aux pieds tu loues le Seigneur. C’est la joie de l’Esprit qui peut faire que bien que tu sois embrigadé en prison, tu loues le Seigneur. Ils ont tellement loué le Seigneur que la prison a été ébranlée.

Là où des chrétiens se seraient lamenté et pleuré, en se plaignant au Seigneur de ne les avoir pas protégés, Paul et Silas louaient le Seigneur…Il y a des souffrances qui nous sont naturellement engendrées du fait de notre statut de chrétien ou de serviteur de Dieu. Ils ont loué le Seigneur, loué le Seigneur, loué le Seigneur. Paul n'a pas seulement dit aux disciples « réjouissez-vous dans le Seigneur ». Quand il s’est retrouvé dans une condition où, en temps normal, on ne devrait pas être heureux, eh bien il était heureux, en prison, avec les chaînes aux pieds. Ils ont chanté, chanté, prié, prié. La prison a été ébranlée. Un ange est descendu et a cassé la prison. Le centenier a eu peur. « Nous sommes tous là, personne n’a bougé, il ne faut pas te faire de mal ». Il les a sortis, a soigné leurs plaies. Ils lui ont parlé du Seigneur et l'ont baptisé avec sa famille.

C'est la joie qui a fait ça, c’est elle qui a combattu ici, dans cette prison de Paul et Silas. Ce n'est pas l’amertume, ce ne sont pas les murmures, ce ne sont pas les pleurs. C'est la joie qui fait l'œuvre de Dieu. On fait l’œuvre de Dieu dans la joie, on est ouvrier de la joie, on est ouvrier pour la joie. Alléluia ! Gloire à Dieu. Un chrétien doit se réjouir d'appartenir au Seigneur, d'être serviteur de Dieu, servante de Dieu, car c'est la joie qui fait l’œuvre de Dieu. Qui fait l’œuvre de Dieu avec l'amertume dans le cœur ? est-ce que le Seigneur peut te dire « bon et fidèle serviteur, entre dans la joie de ton maître » ? Tu n'es pas content, tu murmures dans l’œuvre de Dieu. Ça ne marche pas comme ça. La joie est une puissance du Saint-Esprit. Les apôtres ont servi le Seigneur dans la joie, dans la paix. C'est un bonheur. Si tu réalises que c'est un grand bonheur d'être au service de Dieu, je pense que tu vas t'en sortir plus facilement et dans tes épreuves, dans tes difficultés, dans tes souffrances, le Seigneur va te parler. Il va te parler, il va te rassurer.

Je n'ai pas vu quelqu'un qui s'est engagé avec le Seigneur dans la mission et qui a tout perdu. Dieu n’abandonne pas ses serviteurs. Non le Dieu que nous connaissons n'abandonne personne ! Alléluia ! Les frères étaient dans l'œuvre de Dieu, ils servaient le Seigneur. Quand tu sers le Seigneur, tu es dans le bonheur. Tu es heureux. Si tu veux être heureux, sers le Seigneur. Si tu veux le bonheur, sers le Seigneur. L'argent ne te donnera pas de bonheur. Ça peut contribuer, mais ça ne va pas te donner le bonheur. Pourquoi les riches sont-ils misérables ? Il y a des milliardaires qui sont misérables. Il y en a qui ne dorment même pas. Mais un chrétien qui a de l'argent est en paix. Alléluia. Il est en paix. C'est le meilleur riche. Le chrétien qui a de l'argent, c'est le meilleur riche. Car il n'a aucun problème. Non, il n'a pas de problème. Le meilleur riche c'est le chrétien. Tu as de l'argent dans ce monde et puis tu as de l'argent dans le Royaume de Dieu. Mais tu es le meilleur riche, tu n'as aucun problème. Tu es un bon millionnaire ou bien un bon milliardaire. Tu dors tranquille. Tu finances l’œuvre de Dieu quand tu veux, comme tu veux. Amen.

Mais celui qui a l'argent sans avoir Jésus, comme le jeune homme riche qui est venu vers Jésus réclamer la vie éternelle. Jésus lui a répondu : Il faut obéir aux commandements et tu seras sauvé. Il a dit qu’il obéissait déjà aux commandements. Le Seigneur a dit : si tu veux être parfait, va, vends tes richesses, donne l’argent aux pauvres, viens et suis-moi. Il est parti et n’est plus revenu. Il n'est plus revenu parce qu’il a vu que c'est sa richesse qui le faisait, à la différence de Jésus-Christ et des apôtres qui n'étaient pas faits par leurs richesses. Ils n’en n'avaient pas. Ce n'est pas l'argent qui les a faits. Ce n’est pas l'argent qui a fait Jésus. Il n'a pas hérité des millions et des milliards de Joseph, son père. Mais ce jeune homme était considéré à cause de son argent. Son autorité, son prestige, sa gloire, c'était son argent. Donc sans ses biens il n’était rien. C'est parce qu'il avait les moyens que les gens s'abaissaient et l’appelaient « Maître ». Mais Jésus lui avait demandé de vendre tout cela et de le suivre. S’il vendait, il ne serait plus rien.

Et c'est ce que j'ai dit : Il faut renoncer à toi-même pour entrer dans la joie de l'Esprit. Si tu ne peux renoncer à toi-même, comment peux-tu être heureux ? Comment peux-tu être heureux ? Il y a des gens qui viennent à l'église et qui sont malheureux. Ils sont à l'église, mais ils sont malheureux. C’est parce qu'ils n’ont pas renoncé à eux-mêmes. Si tu n'as pas renoncé à toi-même, étant en Christ, tu seras malheureux. Celui qui n'a pas renoncé à lui-même a encore son orgueil. Il a son orgueil, il a son moi. Il a toujours sa chose à dire, à faire. Il est toujours lui-même. Mais tu ne peux pas être heureux ! Si tu n'as pas renoncé à toi-même, tu ne seras pas heureux, tu ne verras pas le bonheur dont l'évangile parle, car c'est un bonheur qu'on n'acquiert pas avec l'orgueil en même temps. Si tu renonces à toi-même, tu seras heureux, tu seras heureuse.

Il y a beaucoup de chrétiens qui ne sont pas heureux Leur vie est guidée par ce que les autres pensent d'eux, par ce que les autres disent d'eux. Leur vie est guidée par des éléments extérieurs. Leur vie n'est pas guidée par l'Esprit qui habite en eux et qui vit pleinement sa vie en eux. Leur vie est guidée par l'extérieur. Mais tu ne peux pas être heureux. Or, la puissance du chrétien, c'est quand il se replie sur lui-même avec le Seigneur. C'est de là qu’il tire sa puissance. Ce n'est pas dans le monde, ce n'est pas avec les yeux des autres. Le chrétien tire sa puissance dans le fait d'entrer en lui-même avec le Seigneur. C'est ainsi que le chrétien est fort. Ce qui se passe autour ne peut pas avoir de pouvoir sur lui. Mais ce qu'il y a dedans, l'Esprit qui est en lui, c'est de là qu'il tire sa force.

Donc tu ne peux pas avoir le bonheur en allant le chercher chez ton mari, chez ta femme, chez les gens du dehors. Ils disent « Depuis que je suis marié, je n'ai pas le bonheur, je ne suis pas en paix ». C'est que tu as un problème. Gloire à Dieu ! Est-ce que vous m'écoutez ? Est-ce que vous me comprenez ? Est-ce que vous acceptez ce que je dis ? Donc je le répète, le bonheur, qui équivaut aussi à la joie, il ne faut pas l'espérer chez les autres. Les propos du genre « Cette femme, depuis que je l'ai épousée, je ne suis pas dans le bonheur. On dit que le mariage est fait pour le bonheur, mais moi, depuis que je suis marié, je n'ai pas le bonheur ». C'est que tu as un problème. Si depuis que tu es marié, tu n'as pas le bonheur, c'est que tu as un problème. Cherche à régler ton problème. Ne cherche pas à régler le problème de ton mari ou bien de ta femme. Ce n'est pas toi qui vas régler le problème de ton mari ou de ta femme.

Cherche à régler toi-même ton propre problème. Et ne le règle pas avec ton mari. Règle-le avec Dieu. Le bonheur n'est pas conditionné. Celui qui est dans le bonheur, ça veut dire qu'il a l'amour aussi. Ça va ensemble. Il a la joie, l'amour, le bonheur. Il a ça et c'est Dieu qui lui donne son grand bonheur, c’est le Saint-Esprit en lui. Son grand bonheur c’est Dieu en lui, c’est le salut en lui, la vie éternelle en lui. C’est cela son grand bonheur. La miséricorde qui est en lui, c’est son bonheur. Il est miséricordieux. Il est compatissant. Il a de l'amour pour les gens. Hallelujah. Il est capable de prier pour eux, de jeûner pour eux. De leur parler de la paix, de la douceur. C'est ça le bonheur. Et ce bonheur, c'est Dieu qui le donne. Il va te dire « Bon et fidèle serviteur, entre dans la joie de ton maître ». Tu es le plus heureux, tu es tranquille.

Frères et sœurs, c'est ça l'évangile. L'évangile, il faut le comprendre. C'est très important de comprendre l'évangile Il faut éviter les problèmes. Est-ce que tu as la joie ? Depuis que tu es venu au Seigneur, est-ce que tu as la joie ? Tu t’es marié, est-ce que tu as la joie ? Est-ce que tu as la joie ? Tu dois avoir la joie. Tu dois être dans le bonheur. Et ce grand bonheur, c'est quand tu réalises qu'il y a quelqu'un qui est avec toi. Quelqu'un qui est avec toi, qui te parle. Dès qu'il y a un problème, il attire ton attention. Il te parle, il t'instruit dans ses voies. Les gens peuvent t'abandonner, peuvent ne pas te comprendre, parce que souvent on a du mal à se faire comprendre. Mais quand tu n'arrives pas à te faire comprendre, laisse tomber ! Il faut laisser parce que Dieu, lui, te comprendra toujours. Dieu te comprendra toujours. Les gens peuvent te traiter de ce qu'ils veulent mais Dieu te comprendra toujours. Et celui qui te comprend, c'est lui. Dieu a la capacité, les moyens de comprendre tout le monde.

Dieu peut expliquer tous les agissements des frères et des sœurs mais toi, tu ne peux pas expliquer les agissements des frères et des sœurs. Tu es limité, tu ne peux pas. Tu ne peux pas. Tu ne peux pas en vouloir à quelqu'un qui ne te comprend pas. Dieu te comprend et si Dieu te comprend c'est l'essentiel. L’Esprit te comprend c'est l'essentiel. Parle avec Dieu ! tu as été racheté pour parler avec Dieu, pour être une habitation du Saint-Esprit. C’est là qu’il y a le bonheur. C'est là qu'il y a le bonheur, la joie ! C'est une joie intérieure ! Tu te réjouis au fond de toi d'appartenir au Seigneur, d'être un serviteur de Dieu, une servante de Dieu ! Tu te réjouis au fond de toi d'être avec Dieu, de communiquer avec lui, de parler avec lui. Si tu veux, tu prends du temps pour être avec lui, pour parler, il est là, il est toujours présent. Dieu ne va nulle part, on le trouve partout. Gloire à Dieu ! Mais avec un tel homme, tu es heureux !

Il dit « déchargez-vous sur moi de tous vos soucis ». Déchargez-vous ! déchargez-vous. Il faut te décharger ! déchargez-vous ! Se décharger, c'est un acte spirituel. Quand tu portes des bagages trop lourds, un jour, il faut décider de te décharger. Tu te rends devant le Seigneur : « Seigneur tu as dit que les bagages lourds on peut s’en décharger sur toi car tu as les moyens de les porter, alors voici un bagage trop lourd pour moi. Franchement, j'ai fait ce que je peux mais là, je ne peux plus, donc je m’en décharge. Je ne veux plus y penser, je laisse tomber. S’il n’y a pas de résultat, cela ne sera pas à cause de moi car c'est un bagage qui est trop lourd, ça me dépasse. Je pensais que je pouvais m'en occuper, mais là où je suis arrivé, c'est trop lourd. »

C'est lui qui a dit « déchargez-vous sur moi de tous vos soucis ». Dieu a aussi des soucis ! Souvent on l’oublie. Les gens pensent qu’ils sont les seuls à avoir des soucis mais Dieu aussi a des soucis. Quand Dieu voit les gens mourir, s’égarer dans les nations, dans les peuples, dans les villages, ils s’égarent, ils meurent sans connaître le Seigneur, c'est un souci pour Lui. Si toi, tu t'en préoccupes, tu es en train de porter son souci. Alors lui aussi il va prendre tes charges. C'est donnant donnant.

Il prend tes charges et toi, tu prends les siennes : Seigneur, j’ai déjà beaucoup prié pour ce problème, je vais maintenant me consacrer et prier pour ton œuvre. Gloire à Dieu ! Il est écrit « mettez-le de la sorte à l'épreuve ! » Je ne prie plus pour ce sujet. Je vais prier pour l'avancement de ton église. Je vais prier pour tes serviteurs. Je vais prier pour mon village. Il y a trop de gens qui ne te connaissent pas là-bas. Mais ce souci, franchement, je m'en lave les mains. Mettez-le de la sorte à l’épreuve et vous allez voir ce qu'il va faire.

Ça, c'est la foi. Celui qui a l'amour, celui qui a la joie, je pense qu'il a la foi. Tu ne peux pas te réjouir en Dieu sans lui faire confiance, non. Je pense que ce sont des choses qui se suivent si tu as la joie, si tu as l'amour forcément tu as la foi. Et cette foi, cette joie, ce bonheur que tu manifestes, donnent la fierté. Quand Dieu te voit dans le bonheur et dans la paix, il est tranquille, il est content. Dieu aime ceux qui sont dans le bonheur, qui sont dans la joie, ceux qui se réjouissent de lui appartenir, qui ne craignent pas pour l'avenir, qui ne craignent pas pour leur vie, qui n'ont pas peur. Dieu se réjouit de ceux-là parce qu’il sait qu'ils ne sont pas incrédules. Ils lui font entièrement confiance. Amen. Celui qui fait confiance en Dieu, Dieu se montre fidèle envers lui. « Bon et fidèle serviteur, entre dans la joie de ton maître ». Celui-là, il est dans le bonheur. Il a servi Dieu avec les larmes.

J'ai prêché sur ce sujet. J'ai dit que celui qui a multiplié les cinq talents, ça n'a pas été sans problème. On te donne cinq talents, tu vas en ajouter cinq autres. Ça n'a pas été sans problème. Quand les serviteurs sont allés multiplier les talents, ils ont rencontré des problèmes sur la route. Tu peux même miser et perdre. C'est comme celui qui prend l’initiative de faire des affaires, il commence, il mise, il perd, il mise, il perd, il mise, il perd. Maintenant, comme c'est un chrétien, il se décourage. « Peut-être que Dieu n’est pas dedans » Qui t’a dit que Dieu n’est pas dedans ? Qui t’a dit que si Dieu est dans quelque chose tu ne perds pas ? Qui t’a dit ça ? De qui as-tu appris cette leçon ? Tu dis à Dieu « Non, tu n'es pas dedans, c’est pour cela que je perds ». Non ! quand Dieu est dans quelque chose, tu peux perdre. Dieu est dedans à cent pour cent et tu peux perdre, mais il faut persévérer. Il faut avoir la foi. Il faut continuer. Il ne faut pas t’arrêter. Amen. Tu peux perdre.

Frères, j'ai perdu beaucoup d'argent. J’aurais pu dire « je pense que Dieu n'est pas dedans ». Mais qui t’a dit que Dieu n'est pas dedans ? Ou bien « J’ai passé le concours mais j'ai échoué. Peut-être que Dieu n'est pas dedans et qu’il aurait voulu que je fasse autre chose ». Est-ce que Dieu t'a dit « mon serviteur va faire autre chose » ? S’il ne t'a rien dit alors continue.

Je me souviens quand je suis entré à l’ENA, j’ai vu que des gens ont échoué quatre fois au concours d’entrée. Ce n’est qu’à la cinquième fois qu'ils ont réussi. D’autres ont échoué trois fois avant de réussir. Oui, ils nous ont raconté leur témoignage. Ils ont mis du temps mais ils ont essayé et, avec la foi, ça a marché. Mais nous les chrétiens, parce que souvent c'est quelque chose qui nous arrive à nous les chrétiens, dès qu’il y a un échec quelque part, on pense que c'est parce que Dieu n'est pas là. Mais pourquoi est-ce que vous interprétez les échecs de cette manière-là ? C'est faux, frères, c'est faux.

Au contraire, quand Dieu est dedans, c'est ce qui fait le problème parce que, quand Dieu est dedans, il y en a un qui ne veut pas. Si Dieu n'est pas là, le diable aussi n'est pas là. Le diable n’est pas dans ce que Dieu n’est pas. Quel intérêt le diable a-t-il à se mettre où Dieu n’est pas ? Le diable va là où Dieu se trouve. C'est comme ça que ça marche, frères et sœurs. Là où tu es, là où Dieu a sa main, le diable y va aussi. Donc si toi, tu as échoué une fois, ne raisonne pas en te comparant au frère pour qui cela a marché et en supposant que cela a marché pour lui parce que Dieu est avec son projet mais pas avec le tien. Mais pourquoi est-ce que tu veux que cela arrive de la même manière ? Pourquoi ? Ce n'est pas la même chose. Si le frère a passé son concours une fois et a réussi mais que toi tu as passé une fois, deux fois et cela a échoué, continue ! Alléluia ! Il faut continuer !

Quand il ne veut pas que tu fasses quelque chose, il te le dit ouvertement. Dieu nous parle. Il y a des preuves, frères, il y a des preuves. Regardez, le prophète Élisée devait mourir. Il a appelé un roi d'Israël, Joas, et lui a demandé de lancer des flèches au sol afin de manifester sa victoire contre les Syriens. Mais il ne lui avait pas dit que le nombre de flèches qu’il allait lancer correspondrait au nombre de victoires contre ses ennemis. Il lui a juste dit de lancer ses flèches au sol. Le roi a lancé, je crois, deux ou trois flèches, et puis il s’est arrêté là. Élisée lui a dit « mais, il fallait continuer ! », « il fallait frapper plusieurs fois, beaucoup de fois, tu aurais eu la victoire totale ! ». Ouh là, là ! Il a lancé une fois, deux fois puis a abandonné.

Frères et sœurs, je vous le dis par expérience, quand Dieu est dans quelque chose, le diable se met dedans aussitôt et il cherche toujours à capter, à faire en sorte que ça ne marche pas. Il veut te décourager. C'est lui qui t'envoie les premières paroles. « Ah, c'est de Dieu ça ? Non ! ce n’est pas de Dieu... Et puis, tu es paniqué, tu ne sais pas où se trouve la vérité, tu es troublé et tu laisses tomber. Or, peut-être que c’était là une source de bonheur pour toi.

Et les chrétiens ne persévèrent pas. Les chrétiens ne persévèrent pas. Dès qu'il y a une difficulté, ils se retirent, ils vont chercher ailleurs. Il y en a qui frappent à plusieurs portes. Ce que je dis est valable dans tous les domaines. Dieu veut encore qu’on reste même si c’est dur, mais il faut persévérer. Un jour, on sera surpris. Lisez, c’est dans la bible. C’est écrit, on sera surpris. C'est à force de persévérer que le chrétien réussit dans ses voies. À force de persévérer, de tenir ferme face au diable. Dès que tu as un projet, le diable se met dedans.

Moi j'ai engagé un projet et j’ai vu le diable, tout fâché ! Le Seigneur m'a dit « il est fâché parce que tu as un projet ».  C'est mon projet, alors pourquoi il se fâche ? Il est fâché parce que tu as un projet.  Tu ne peux pas penser que, parce que tu as un projet, le diable va te regarder de loin. Dès que tu as un projet, il est là. Il faut que ça se gâte. Pourquoi ça devrait réussir ? Si ça réussit il va gagner, il sera bien, il va bien organiser sa vie, et quand sa vie sera bien organisée, il va mieux servir le Seigneur ! Il faut que je gâte ! Il faut que je gâte ce projet ! Il va vouloir gâter mais toi, dès que le diable a mis la main dedans, tu te dis que ce n'est pas la volonté de Dieu. C’est ainsi qu’on commence à raisonner. On raisonne, on raisonne et puis bon on baisse les bras et on laisse tomber.

Frères, l'ADN du chrétien c'est la persévérance. Oui frères, parce qu'on est dans le domaine de l'Esprit. On persévère et c'est à force de persévérer qu'on réussit dans les voies de Dieu, qu'on réussit dans ce monde. C'est à force de persévérer qu'on réussit. Le Seigneur l’a dit « ceux qui vont semer avec larmes, moissonneront avec champ d’allégresse. » C'est pareil dans tous les domaines. Domaine spirituel, domaine de la vie, de tous les jours, dans tout ce qu'on fait, les affaires, le travail, dans tout ! Il faut persévérer ! Il faut persévérer ! Et l’objectif que tu veux atteindre, il faut bien le fixer et après tu montes. Si on te tire en arrière, tu te repositionnes et tu montes encore, en tapant à gauche et à droite. Tu vas réussir. Alléluia.

Le diable effraie les gens. Satan effraie les gens. Dès que tu commences, il peut y avoir des souffrances, des difficultés, des problèmes, mais mon frère, il ne faut pas s’étonner. Quelqu'un est malade, il se soigne il est encore plus malade. Les gens prennent ce médicament, ils disent que c'est bon, mais quand j’utilise, ça ne marche pas avec moi. Je me demande comment j'ai fait pour avoir tous les problèmes. C'est Satan ! Et pourquoi tu serais différent des autres ? C’est le diable !

Frères et sœurs, c'est à force de persévérance qu'on parvient à la victoire, nous les chrétiens. Et la persévérance, c'est l’ADN des chrétiens. Alléluia. Un chrétien persévère, il ne relâche pas, il n'abandonne pas. Ce qu’il te faut, c'est la conviction. Il faut avancer. Tu ne vas pas rester là à te laisser distraire par le diable qui va t’effrayer et te freiner. Ça c'était avant. Il faut dire que c’était avant, quand on était des enfants. Amen ! Il ne faut pas laisser le diable t’effrayer. Pourquoi est-ce qu’il va t’effrayer ? Est-ce que c'est le diable qui t'a créé ? Tu es son fils ? Tu es sa fille ? Non ! Alors, pourquoi il va t’effrayer ? Frères, c'est à force de persévérance qu'on réussit.

Moi je me suis rendu compte que beaucoup parmi nous ne persévèrent pas. Dès qu'ils rencontrent une difficulté, ils l’attribuent à Dieu. Et le diable a tendance à attribuer toutes vos difficultés à Dieu. « Non, tu vois ça, si ça ne marche pas c'est parce que Dieu n'est pas dedans. Il faut laisser tomber ». Mais où est ton problème Satan ? Laisse Dieu me dire de laisser tomber ! Frères, faites la différence entre vos raisonnements et la Parole de Dieu. Alléluia ! Les raisonnements, le diable a les raisonnements. Soudain, tu as des pensées. Il faut éprouver les esprits ! C'est écrit dans Jean : « éprouvez tout esprit pour savoir s'il vient de Dieu ». Nous avons en commun le Saint-Esprit. Alléluia ! Quand un frère, dans sa chambre, a une vision, un songe sur ma personne, ce n'est pas moi qui lui ai dit, c'est Dieu qui lui a parlé. Ça peut confirmer quelque chose que je crois avoir reçu de Dieu.

Moi j'ai vu les difficultés dans l’œuvre missionnaire. Ta voiture a des problèmes et tu ne sais pas d’où vient la panne. Et on se dit :  Peut-être que ce n'est pas la volonté de Dieu qu’on voyage. Mais qui a dit cela ? Souvenez-vous de ce que Paul a dit à des frères « Je voulais aller vers vous, mais le diable m’en a empêché ». (1 Thess 2 :18 : « Aussi voulions-nous aller vers vous, du moins moi Paul, une et même deux fois; mais Satan nous en a empêchés

Le diable l’a empêché. Le diable peut empêcher. Mais pourquoi le diable peut réussir à empêcher ? C'est quand tu as contribué à sa thèse. Il te fait croire que ce n'est pas Dieu, tu l’acceptes mais en fait, c'est Satan qui t'a dit ça ! c’est ce que fait le diable. Il est là, il tourne autour, il crée des problèmes, il mélange les choses, tu es dans la confusion, tu ne comprends rien, tu ne sais pas ce qui se passe. La bible dit d’éprouver les esprits. Qu’on ne soit pas des gens qui, à la première difficulté, commencent à tenir des propos du genre « Dieu n'est pas dedans, peut-être que Dieu n'est pas dedans frère, moi je veux autre chose. » Le Seigneur l'a lui-même dit « ceux qui sèment avec larmes - ceux qui sèment avec larmes, ils moissonnent avec champ d’allégresse.

C’est pareil pour le combat spirituel. Tu es un chrétien et tu rencontres une difficulté avec le diable, avec un démon. Tu commences le combat spirituel, il ne faut pas t'arrêter. Quand tu frappes Satan fort, il réagit violemment et il s’acharne contre toi. Et toi, tu ne vois encore rien, et tu dis que tes prières ne sont pas efficaces ! Qui t'a dit que tes prières ne sont pas efficaces ? Tu veux que le diable vienne te dire que tes prières le touchent trop et qu’il faut arrêter ? Non ! le diable ne va jamais te dire d’arrêter de prier parce que tes prières le touchent trop ! Non ! Il va te faire croire que tout ce que tu fais est nul, que cela ne vaut rien, que les petits coups que tu lui donnes ne l’effraient même pas, que cela ne va nulle part alors qu’il est abîmé et qu’il souhaite que tu arrêtes. Il souhaite que tu arrêtes. Il va te convaincre d'arrêter parce que ce n'est même pas la peine.

Il va te dire d’aller voir les anciens. Tu n'es rien. Toi tu ne connais rien. Tu es petit.  C'est Satan ! C'est Satan ! C'est Satan ! Qui a dit que ta prière ne fait rien au diable ? Au contraire ! ça joue sur lui. Il sait que si tu continues, son avenir est sombre. Il sera obligé de te lâcher. Il va fuir.

Un chrétien ! Je dis un chrétien est un chrétien. Moi, je ne sous-estime aucun frère. Non, je ne sous-estime aucun frère. Un chrétien, c'est un chrétien. Tu es un frère, tu es une sœur, tu as été baptisé. Tu connais le nom du Seigneur. La bible dit qu’au nom de Jésus, tous les genoux fléchissent, dans les cieux et sur la terre. Ce qu’il lui faut au chrétien, c'est la résolution, c'est la fermeté. Et quand tu commences un combat spirituel, il ne faut pas t'arrêter, il faut persévérer. On combat le diable dans la durée, car lui-même nous combat dans la durée.

Il y a des démons auxquels j’ai eu à faire. Au départ, dans les prières, ils se montraient durs. Après, j’ai vu qu’ils ont commencé à faiblir. Puis, ils ont commencé à fuir. C'est ce que j’ai vu en songe. Au départ, ils se dressent, après, ils commencent à tourner le dos, enfin, ils commencent à fuir. Au fur et à mesure que tu grandis spirituellement, ils commencent à fuir. Amen. Et il y a aussi des démons que le Seigneur laisse dans notre environnement pour nous apprendre à nous battre car un chrétien doit avoir un exercice spirituel. Et vous savez pourquoi ?

Donc, un chrétien doit se réjouir. Il doit être dans le bonheur, il doit être dans la paix et il doit servir le Seigneur parce que tout ce qui nous arrive, tout ce que Dieu nous fait est pour notre propre formation spirituelle en vue d'être utiles dans ses mains contre l'adversaire, contre le monde des ténèbres. Et vous savez qu'il y a une oeuvre en vue, il y a une oeuvre qui est en train de venir. Réjouissons-nous d'entrer dans cette œuvre. On doit se réjouir d'entrer dans cette œuvre. Que Dieu soit béni.

C'est là que je vais m’arrêter.  J’ai produit un document pour votre instruction. Je l’ai envoyé dans le groupe de l'église. Mais il y a un élément important à relever. Là où nous sommes arrivés, c'est le stade de l'approbation. C'est à ce niveau-là qu'on se trouve. L'approbation est du côté de Dieu, c'est comme tous ceux qui ont fait des offrandes, tous les adorateurs ont fait des offrandes, Caïn et Abel ont fait des offrandes. Maintenant Dieu va approuver. C’est ceux que Dieu va approuver qui vont former l’Épouse de Christ. Donc, le ministère qui est devant nous est un nouveau ministère. La bible dit que cela n’a jamais été accompli. C'est le ministère de l'Épouse et cela n’a jamais été accompli.

Et quand Dieu a montré la moissonneuse-batteuse au frère Frank, il lui a dit que c'était une machine qui n'avait jamais été utilisée pour faire la moisson. Personne n'est monté dessus. Donc ceux qui vont monter dessus, ce sont des hommes choisis, mais approuvés par Dieu. Pas des gens qui viennent eux-mêmes pour entrer dans quelque chose, non. Dieu les a approuvés, il les prend pour effectuer son travail. Amen. C'est de ça qu'il s'agit. C'est pour cela qu'au stade où on est arrivés, peut-être qu'il y en a qui se trompent. Sinon, nous, on n’attend rien de personne, non. Moi, je n'attends rien de personne parce que là où on est arrivés, c'est Dieu maintenant qui approuve. Personne ne peut attendre quelque chose d’un serviteur de Dieu. « Est-ce que je peux t'accompagner, te suivre dans tes voyages ? » Non, non, non, on n'est plus à ce stade. C'est fini ça. C'est fini. Là où on est arrivés c'est un nouveau ministère, c'est une nouvelle œuvre. L’église même qui sera manifestée, c'est une église même que les autres n'ont jamais vue. Ce sera une nouvelle église. Ce ne sera pas l’église de Koumassi.

Il faut que nos esprits soient clairs, c'est une nouvelle église. Mais écoutez, la reine Esther était avec les autres vierges, mais quand elle entre dans la chambre du roi, puis quand elle ressort avec la couronne sur la tête ce n'est plus une vierge qui est venue faire une compétition. C’est la première dame du royaume, c'est la reine de tout le gouvernement d'Assuérus. Tout le monde la respecte, depuis les ministres jusqu'au dernier des citoyens, et son règne s’étend sur tout le royaume. Là où le règne de ton mari arrive, c'est là aussi que ton règne arrive. C'est pour ça qu'elle avait fait une annonce. Trois jours de jeûne dans tout le royaume pour les juifs. Tous les juifs avaient reçu l'information dans le royaume. Ça venait de la reine Esther. Nous on pensait que c'était la petite nièce de Mardochée. Mais elle peut ordonner de jeûner trois jours et puis tout le royaume va écouter. Qui est-elle pour qu’on l’écoute ? la reine Esther dit et on écoute parce que dans cette position, elle peut voir le roi, elle peut plaider, elle peut parler, en faveur de nous tous. Donc elle dit qu'elle va aller le voir, « mais jeûnons trois jours, sans manger, sans boire. Tout le monde ! » la reine a parlé. C’est elle seule qui pouvait voir le roi. Les autres ne pouvaient pas ! Alléluia ! Gloire à Dieu !

L'intercession sera un ministère important pour nous dans l’avenir. Car, quand on va entrer dans ce ministère, ceux qui seront dans ce ministère auront ce pouvoir d'intercéder de changer beaucoup de choses par la prière. Et Dieu nous écoute. S'il veut sauver une nation, il la sauvera par nos prières. Il veut sauver un peuple, il le sauvera par nos prières. Alléluia ! Car notre voix porte. C'est une nouvelle œuvre. Et nous n’avons pas la main dans cette nouvelle œuvre. Personne n'a la main dedans. Alléluia. Dieu envoie son onction, Il choisit ses hommes qui s’en vont travailler. Donc, mes frères, là où on est arrivés, chacun doit rester calme. Oui. Chacun doit rester calme, car les jeux sont déjà faits. Ce n'est pas maintenant qu'on va courir pour faire des compétitions, les jeux sont déjà faits. Chacun a marché dans sa voie. Et maintenant, on attend l'approbation de Dieu. On verra quel sacrifice sera approuvé et de quelle manière. Alléluia.

Elie a réuni les prophètes de Baal et d’Astarté qui ont commencé à prier. Lui aussi a prié. On a vu le résultat. Quand il a appelé à faire le sacrifice, on a vu le résultat. Tout est devant Dieu. Donc, ce n'est pas une œuvre telle que les gens l’imaginent, ce n’est pas comme ça que cela va se passer, non. Les gens sont dans les imaginations, et je vous le dis frères, évitez les imaginations. On vit par la foi par conséquent, on n'imagine pas les choses. Dieu a parlé, les choses sont claires alors tu marches avec ta foi. Il ne faut pas imaginer, on n'imagine rien. Alléluia. C'est une nouvelle église. L’église restaurée, c'est une nouvelle église. C'est une église que le monde n'a pas encore vue, que le monde ne connaît pas. Est-ce que le monde connaît l'église ? Le monde ne connaît pas l'église. On pense que tout ce qu’on voit c'est l'église, mais Jésus, lui, sait quelle église il a laissé sur la terre. Ce n'est pas ce qu'on voit là. Nous-mêmes on sera étonnés ! Quand Dieu commence à agir, tu es étonné. Toi-même, le serviteur de Dieu, tu es étonné.

Moïse était dans le camp lorsque Phinée a pris une lance, est entré dans une tente et a transpercé les deux qui y étaient pour pêcher. Moïse était étonné. Il aurait pu s’attendre à un geste semblable de la part de lui-même, d’Aaron mais Phinée ! Phinée est sorti de nulle part et a réglé le problème. Alors Dieu dit à Moïse « je vais faire une alliance avec ce Phinée car il m’a honoré dans ce qu’il a fait ». Est-ce que Moïse va se mêler de ça ? non car il n’a rien à voir là-dedans. Ce n’est pas lui qui a dit à Phinée de faire ce qu’il a fait, non ! Phinée a été agité par le Saint-Esprit, a pris une lance et est entré dans la tente.

Quelqu'un dirait qu'il est devenu un criminel ce jour-là. Ce n’est pas une affaire de criminel. Il a accompli la volonté de Dieu. Le même qui a dit tu ne tueras point, c'est le même qui l'a agité. Gloire à Dieu ! Qui peut servir le Seigneur ? Il y en a qui vont dire « la loi dit que tu ne tueras point. Oui, oui, la loi est là qui dit tu ne tueras point. ». Mais quand Dieu s'est saisi de lui, il a oublié la loi. C’est la Parole de Dieu « va le tuer ». Phinée l’a tué. Au moment où Moïse est en train de raisonner, il ne savait pas quoi faire, il regardait les gens, son cœur était partagé. Il ne savait pas ce qu'il fallait faire. Il voit que les enfants font n’importe quoi, il ne sait pas quelle direction prendre. Le prophète était dépassé par les événements. Gloire à Dieu. Ça peut arriver, frères, qu'on soit dépassés par les événements et qu’on ne sache plus ce qu'il faut faire. Et puis Dieu envoie une solution qu'on n’espérait pas et qui règle le problème pour tout le monde. Gloire à Dieu. Que Dieu soit béni. Est-ce qu’on est dans la joie ? Il faut qu'on soit dans la joie. Que Dieu nous bénisse. On va rendre grâce à Dieu.



Le fruit de l’Esprit - L’amour
On va commencer une série d’enseignements sur le fruit de l’Esprit. C’est un enseignement de façon générale sur le fruit de l’Esprit mais, je vais mettre des particularités à chaque fois. Aujourd’hui, on mettra l’accent sur l’amour. Puis, on va prendre les autres fruits qu’on va mettre en exergue
Le fruit de l’Esprit – La paix
Gloire à Dieu. Que Dieu nous bénisse. Nous allons continuer ce qu’on a commencé il y a déjà quelques temps. Et je pense qu’on va se laisser conduire par l’Esprit de Dieu et nous allons lire quelques Écritures. Le passage de base que nous connaissons déjà, c’est Galates chapitre

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